Prix International Socrates Awards décerné par « l’European Business Assembly (EBA) » basé à Oxford : le GRAS désigné meilleure entreprise de l’année 2022

L’année 2022 s’est avérée très fructueuse pour le Groupe de Recherche Action en Santé (GRAS). Après la désignation de son directeur général, le Dr Sodiomon Bienvenu Sirima, comme le scientifique de l’année en juin 2022 par l’IARC au Canada, c’est le prestigieux prix du meilleur manager de l’European Business Assembly (EBA) qui vient de lui être décerné officiellement ce 20 décembre depuis Oxford en Angleterre.
Cette distinction est la résultante du tout premier prix majeur que son institut, le GRAS, vient d’obtenir. L’International Socrates Awards récompense la meilleure entreprise dans plusieurs domaines d’activités dont la Santé.
Ces distinctions ont été présentées aux deux autorités de tutelle, le Pr Adjima Thiombiano, Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation et le Dr Lucien Robert Kargougou, Ministre de la Santé et de l’Hygiène publique le mercredi 21 décembre à Ouagadougou. Les autorités ont exprimé leurs vives félicitations à Dr Sirima et à tout son personnel qui ont fait resplendir le Burkina Faso sur la scène internationale.
La célébration de ces distinctions s’est poursuivie dans l’intimité de l’institut avec tout le personnel du GRAS, le jeudi 22 décembre. Ce fut l’occasion pour tout le personnel de communier dans la joie et de clore une riche année pour l’institut.
Pour plus d’information sur l’EBA : https://ebaoxford.co.uk

Projet ShigaPlexIM : une équipe du GRAS formée sur la méthode LAMP

Des chercheurs du GRAS ont bénéficié d’une formation sur la Rapid LAMP based Diagnostic Test (RLDT) du 12 au 16 décembre 2022 au siège de l’institut. La méthode LAMP, basée sur la réaction en chaîne par polymérase (PCR), est un nouvel outil rapide et simple pour le diagnostic des pathogens enteriques complexes, tels que les Shigelles responsables de la Shigellose.

Dr Subhra Chakraborty de l’Université John Hopkins aux USA et développeur de l’outil LAMP, ainsi que Dr Suwilanji Silwamba du Centre for Infectious Disease Research (CIDRZ) en Zambie ont assuré cette formation.

 

Ce partage d’expériences s’inscrit dans le cadre de l’étude de base du projet ShigaPlexIM qui vise à générer des données épidémiologiques précises sur la charge de la morbidité liée à la Shigellose, principale cause de maladies diarrhéiques chez les enfants de moins de 5 ans après le rotavirus.

Projet de recherche SCHICOSAL-FONRID : la coordination met en place le comité de suivi-évaluation

La salle de rencontre du GRAS a abrité les travaux de la coordination du projet SCHICOSAL ce vendredi 02 décembre 2022. Cette rencontre a permis de présenter l’état de mise en œuvre du projet, de proposer des recommandations et de valider le comité de suivi-évaluation de ce projet qui regroupe des scientifiques de l’Institut de Recherche en Sciences de la Santé (IRSS), du Laboratoire de Biologie Moléculaire, d’Epidémiologie et de Surveillance des Bactéries et des Virus Transmissibles par les Aliments (LabESTA) de l’Université Joseph Ki-Zerbo et du Groupe de Recherche Action en Santé (GRAS).

Financée par le FONRID à hauteur de 50 millions de FCFA, SCHICOSAL est une « Etude des effets, de la prévalence et des facteurs de risque de la Co-infection à Schistosoma, Salmonella Typhi et non Typhi (SNT) chez les enfants d’âge scolaire (6-16 ans) dans les régions du centre et du plateau central (Burkina Faso) » prévue pour 18 mois. Il a démarré en janvier dernier et prendra fin en juin 2023.

Les travaux de la rencontre ont été ouverts par le Dr Sodiomon B. Sirima, directeur général du GRAS.

ASTMH 2022 aux Etats-Unis : le GRAS fortement représenté

Une équipe du GRAS a participé aux ASTMH à Seattle du 30 octobre au 03 novembre 2022 où elle a partagé ses expériences scientifiques aux autres chercheurs venant de plus de cent pays du monde.

Au Seattle Convention Center, les chercheurs du Groupe de Recherche Action en Santé, en plus de la participation aux différentes présentations scientifiques, ont animé un symposium sur les vaccins bloquant la transmission ; et assisté à trois (3) réunions de consortium sur les activités de VAC4PM, de WANECAM 2 et DPP.

Ils ont également donné cinq (5) communications en présentielles et deux (2) communications en ligne. Ainsi, les chercheurs du GRAS ont pu échanger avec leurs collègues sur des thématiques liées essentiellement aux maladies tropicales infectieuses.

Les ASTMH (American Society of Tropical Medicines and Hygiene), cadre de réunion annuelle ouvert à tous les chercheurs scientifiques du monde, offrent plusieurs avantages.

Elles permettent aux leaders du domaine d’avoir des informations pratiques et une vision stratégique dans un cadre où se côtoient chercheurs, cliniciens, responsables du monde universitaire, fondations, organisations non gouvernementales, secteur privé, etc. autour des questions majeures de la médecine tropicale et de la santé mondiale.

 

Cette conférence a été très enrichissante pour le GRAS et s’est présentée, en outre, comme un cadre de collaboration et réseautage.

Formation continue de nos chercheurs : le séquençage du SRAS-CoV-2 assimilé au Ghana

Le domaine de la recherche scientifique fonctionne essentiellement sur des collaborations diverses et des synergies d’actions de différents partenaires, qu’ils soient nationaux ou internationaux. C’est dans ce cadre que trois collaborateurs du GRAS étaient à Accra pour maîtriser le séquençage du SRAS-CoV-2. Il s’agit des Drs Emilie Badoum, Jean Sawadogo et Samuel Sermé. Cette formation proposée par le réseau « West African Centre of Cell Biology of Infectious Pathogens (WACCBIP) » et l’Université de Ghana, s’est tenue du 1er au 12 août 2022 dans le cadre du projet de recherche COVI-AO dans lequel le GRAS est engagé.

L’objectif est de développer les compétences des scientifiques en matière de séquençage d’agents pathogènes viraux par nanopore, principalement par le biais du pipeline de séquençage du SARS-CoV-2 du WACCBIP ; ainsi que les analyses bio-informatiques des données génomiques du SARS-CoV-2.

Grâce à cette expérience, ces scientifiques pourront partager en retour leurs connaissances au sein de leurs instituts d’origine et contribuer au développement du réseau de l’Afrique de l’Ouest et du GRAS.

A cet effet, sept laboratoires distincts du Burkina Faso, du Cameroun, de la Côte d’Ivoire, de la Guinée, du Mali et du Nigeria, aux côtés de la partie ghanéenne, ont mandaté chacun leurs représentants pour participer à cette formation assurée par des partenaires de laboratoires expérimentés des Universités de Cambridge et d’Edinburg en Angleterre.

Dr Sirima, désigné scientifique de l’année 2022 par l’International Achievements Research Center (IARC)  

COMMUNIQUE DE PRESSE

Après avoir été élu membre de la prestigieuse Académie Africaine des Sciences (AAS), le 17 décembre dernier par son Conseil d’Administration, le Dr Sodiomon Bienvenu SIRIMA, Directeur général du Groupe de Recherche Action en Santé (GRAS) vient d’être à nouveau distingué par l’IARC.

« Les réalisations impressionnantes dont vous avez fait preuve au fil des ans, ainsi que votre engagement pour l’excellence, nous ont inspirés à vous reconnaître comme le Lauréat de l’année 2022 dans la catégorie « Médecine et sciences de la santé / Médecine clinique / Épidémiologie clinique. Félicitations pour votre distinction ! ». Telle est la substance de la lettre officielle à lui adressé à la date du 30 juin 2022, accompagnant le certificat de distinction.

Selon le Dr Michael FINNEN, directeur compétition de l’IARC, cette désignation est issue du travail minutieux d’experts internationaux et d’un jury qui ont « évalué en profondeur le potentiel et le parcours de chaque candidat, ainsi que la valeur scientifique et l’impact de leurs activités sur le monde moderne et les êtres humains. ».

« Cette distinction est assurément un immense honneur fait à ma modeste personne par mes honorables pairs. Je mesure à sa pleine mesure le symbole et la responsabilité qui s’y attachent. C’est, au-delà de tout, une pressante invite à persévérer sur le chemin de l’excellence dans la recherche en santé. Ensemble, avec mon équipe au sein du GRAS, nous nous y engageons résolument. » a laissé entendre Dr Sirima.

Dr Sirima est un scientifique burkinabè reconnu par ses pairs comme une des plus grandes références mondiales dans le domaine de la recherche en santé dans les maladies tropicales en général et le paludisme en particulier. Ses travaux ont contribué à une meilleure connaissance et une amélioration de la prévention et du traitement du paludisme ; et ont fait l’objet de plus de 200 publications scientifiques validées par des pairs. Les articles scientifiques publiés par le Dr Sirima sont accessibles ici:

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/myncbi/1FAAAjbUm7S/bibliography/public/

A propos du Groupe de recherche action en santé (GRAS)

Le Groupe de recherche action en santé (GRAS), est un institut de recherche de droit privé burkinabè créé en 2008, dont le siège est à Ouagadougou. Il œuvre dans le domaine de la recherche en santé humaine et entend jouer un rôle important dans la conduite des études clés et innovantes, en vue de générer de nouvelles connaissances à même de guider les décideurs politiques dans la prise de décision basée sur des évidences scientifiques.

A propos de International Achievements Research Center (IARC)

Le Centre de recherche sur les réalisations internationales (CIRC), situé à Montréal (Québec, Canada), est une organisation internationale qui donne aux professionnels talentueux des secteurs de la science, de l’éducation, de l’industrie, des affaires et de la technologie les moyens de réaliser de nouvelles possibilités. Pour de plus amples détails sur l’IARC et la distinction de Dr SIRIMA, veuillez visiter : https://achievementscenter.com/Sodiomon-Bienvenu-Sirima

Contacts : email : https://gras.bf/ ; gras@fasonet.bf ; Tél : +226 25 35 56 90

Le GRAS était au lancement du projet de vaccin #ADVANCE-VAC4PM en Allemagne

Une délégation du Groupe de Recherche Action en Santé, conduite par son directeur général, Dr Sodiomon Bienvenu Sirima, a eu l’honneur de prendre part au lancement d’un nouveau projet de recherche de vaccin contre le paludisme du 28 au 29 juin dernier à Heidelberg.

Ce projet, financé par l’Union européenne, est dirigé par l’Initiative européenne pour les vaccins (EVI) et regroupe plusieurs structures de recherche d’Afrique et d’Europe. Les différents partenaires ont eu la chance de se rencontrer en présentielle pour mieux échanger sur les objectifs du projet et des activités à venir.

EVI se dit contente de la forte et productive collaboration qui aboutira au développement d’un vaccin contre le paludisme placentaire sûr, efficace et abordable, afin de protéger les femmes enceintes et leurs bébés.

Plusieurs structures engagées dans la recherche au projet #ADVANCE-VAC4PM. Il s’agit de :
– Initiative européenne pour les vaccins (EVI) – ALLEMAGNE
– Fondation pour la Recherche Scientifique (FORS) -BENIN
– Groupe de Recherche Action en Santé (GRAS) -BURKINA FASO
– Institut de Recherche pour le Développement (IRD) – FRANCE
– Institut nationale de la Santé et la Recherche médicale (INSERM) – FRANCE
– Centre de recherche en santé de Kintampo (KHRC) – GHANA
– Université des Sciences et Technologies du Malawi (MUST) – MALAWI
– Radboudumc – HOLLANDE
– Københavns Universitet – Université de Copenhague – DANEMARK

En savoir plus sur ce projet! : https://www.euvaccine.eu/post/new-european-african-partnership-to-contribute-to-the-fight-against-placental-malaria
#financé par l’UE #EndMalaria #DrawTheLine
Source : EVI
#collaboration #recherche #santé #europe #afrique

Nouvelle Publication scientifique : Optimisation de l’utilisation des médicaments antipaludiques dans la perspective d’atténuer l’émergence de la résistance à l’artémisinine

Au Burkina Faso, le paludisme reste la première cause de consultation médicale et d’hospitalisation dans les centres de santé. La prise en charge de première ligne du paludisme dans les structures sanitaires du pays repose sur l’utilisation des combinaisons thérapeutiques à base d’artémisinine (ACT). Afin d’optimiser l’utilisation de ces médicaments antipaludiques dans la perspective d’atténuer l’émergence de la résistance à l’artémisinine, un programme pilote utilisant des thérapies de première ligne multiples (MFT) [trois combinaisons à base d’artémisinine – pyronaridine-artesunate, dihydroartémisinine-pipéraquine et artéméther-luméfantrine] a été conçu pour être mis en œuvre. Etant donné que le succès de ce programme pilote MFT dépend des perceptions des acteurs clés du système de santé et des membres de la communauté, l’étude visait à évaluer leurs perceptions sur la mise en œuvre de cette stratégie.

L’adhésion des populations et des principales parties prenantes à la stratégie de mise en œuvre du MFT dépendra probablement de l’efficacité des médicaments proposés, de l’absence ou de la faible fréquence des effets secondaires, du coût des médicaments et de la disponibilité des différentes combinaisons.

Voici les détails dans la publication scientifique ci-dessous :

https://malariajournal.biomedcentral.com/articles/10.1186/s12936-022-04225-3

#8MARS2022 : Dr Edith Sanogo, notre entomologiste médicale s’ouvre à vous

 A notre connaissance, elle est la seule femme entomologiste médicale au Burkina Faso. Dr Sanogo, évolue dans le secteur des insectes, vecteurs de maladies, depuis plusieurs décennies. Elle a consacré sa vie professionnelle à accompagner plusieurs programmes et projets de recherches en santé. De par son parcours, elle souhaite partager son expérience afin d’en faire des émules, notamment au niveau de la gente féminine.

Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
Je suis Edith, née dans la famille ILBOUDO et mariée chez les SANOGO. Je travaille sur les insectes d’intérêt médical (c’est-à-dire tous les insectes pouvant transmettre des maladies aux humains) et spécifiquement sur les moustiques qui transmettent le paludisme. Je m’intéresse de ce fait, non seulement aux insectes, mais aussi aux parasites et aux maladies qu’ils transmettent.

Quel a été votre parcours scolaire, universitaire et professionnel ?
Après le certificat d’études primaire et élémentaire (CEPE), j’ai fréquenté le lycée Philippe Zinda KABORE où j’ai obtenu mon Baccalauréat série C en 1983. J’ai ensuite été orientée en CBBG à l’Institut supérieur polytechnique de Ouagadougou (ISP) au sein de l’Université de Ouagadougou (actuel Université Joseph Ki-Zerbo), d’où je suis sortie avec une Maitrise en Chimie-Biologie en 1987. Avec cette Maîtrise, j’ai pu obtenir une bourse de l’USAID pour deux ans de formation au Centre Universitaire de Formation en Entomologie Médicale et Vétérinaire (CEMV), basé à Bouaké (RCI) relevant de la Faculté des sciences et techniques, université Félix Houphouet Boigny. A l’issu de cette formation sanctionnée par un diplôme d’études approfondies (DEA) en 1989, je suis revenue au Burkina Faso où j’ai été embauchée en 1990 par la Coopération Italienne pour travailler au Centre de Lutte contre le Paludisme. Intégrée à la Fonction publique en mars 1992, je suis restée au Centre de Lutte contre le Paludisme, aujourd’hui Centre National de Recherche et de Formation sur le paludisme (CNRFP). J’y ai préparé et soutenu ma thèse de doctorat en sciences biologiques appliquées, option entomologie médicale en 2001. Depuis 10 mois, j’exerce au Groupe de Recherche Action en Santé (GRAS) comme entomologiste médicale.

Pourquoi avez-vous choisi votre métier ? Quel est le degré de votre passion pour ce métier ?
Après ma Maîtrise, j’avais le choix entre l’entomologie médicale et l’industrie agro-alimentaire ; j’ai même suivi un mois de cours en industrie agroalimentaire avant de rejoindre Bouaké. Donc en fait je parlerai plutôt d’opportunités, car mon choix était bien différent de ces deux opportunités qui s’offraient à moi après ma Maîtrise, bref…
J’ai choisi l’entomologie médicale parce que je voulais surtout apporter ma contribution à la santé humaine ; et découvrir les insectes qui sont responsables de maladies était très motivant et passionnant. Arriver à lier la maladie à la présence d’un insecte donné, porteur du germe de la maladie est très émerveillant et passionnant. Animée par la volonté de découvrir et de mettre en pratique la théorie apprise, j’ai su toujours aller de l’avant. Oui, j’aime bien le travail de terrain, mon métier.

Quelle est la place de la femme dans le secteur de la recherche scientifique, notamment en santé ?
La place de la femme dans la recherche scientifique est celle qu’elle arrache par l’excellence dans son domaine. En effet, il n’y a de cadeau dans aucun domaine pour la femme. Il faut savoir se battre pour mériter sa place dans un monde ou la junte masculine a tendance à s’offrir tous les privilèges. De nos jours, il y a de plus en plus de filles dans les séries scientifiques des lycées et collèges et plus de femmes exerçant des métiers jadis redoutés par elles (génie civile, génie mécanique, architecture, médecine, enseignement, etc…). Je pense donc qu’elle a une place bien méritée dans le secteur de la recherche scientifique.

Quels conseils donneriez-vous aux jeunes filles qui voudraient évoluer dans le domaine de la recherche scientifique ?
Ne jamais rester figée voire pessimiste ; savoir transformer les obstacles en opportunités et les saisir pour aller de l’avant. Savoir bien s’organiser pour gérer le travail de laboratoire, de terrain et sa famille.

Avez-vous un dernier mot ?
J’encourage les filles et les femmes à s’orienter dans les séries scientifiques des lycées et collèges pour travailler dans le secteur de la recherche scientifique. Ce n’est pas sorcier et quand on aime ce qu’on fait, on réussit mieux.

Journée mondiale de la Santé : le GRAS plus que jamais engagé

Chaque 7 Avril est consacré à la journée mondiale de la santé à travers le monde. C’est l’occasion pour l’ensemble des acteurs du système de santé de porter une réflexion particulière sur les défis et enjeux de l’Humanité pour son bien-être véritable. Les différents acteurs sont toujours sur le qui-vive pour porter un coup d’amélioration sur les nombreux problèmes de santé des Hommes et de la planète. Et dans ce combat, la place de la recherche reste fondamentale. C’est elle qui apporte la grande partie des solutions les plus efficaces.
C’est le but principal du Groupe de Recherche Action en Santé (GRAS), résolument engagé pour enrayer de nombreuses maladies tropicales et nouvelles qui freinent le développement.
En termes de vision, le GRAS ambitionne de devenir un pôle d’excellence dans la recherche biomédicale et opérationnelle en Afrique de l’Ouest. Pour ce faire, il se donne pour missions principales :
• contribuer par le biais de recherches innovantes en santé à la résolution des problèmes de santé publiques et par ricochet, à l’amélioration de la santé des populations,
• contribuer au renforcement des compétences des acteurs de la recherche en santé.
Le GRAS souhaite une bonne commémoration à l’ensemble de ses partenaires nationaux et internationaux.